Maxxis Medusa
[dcs_p]Les débuts ont été difficiles, voire parfois catastrophiques. Sur un terrain boueux, les Medusa n’ont d’abord offert aucune adhérence. Puis avec quelques tours de roue et une meilleure anticipation du parcours la magie des Medusa a enfin opérée.[/dcs_p] [dcs_p]Techniquement l’arrière va fouiller en profondeur jusqu’à trouver une terre dure pour, dans un second temps, mordre dedans. Efficacité garantie même dans un terrain extrême (voie cavalière défoncée avec 20 à 25 cm de boue dure ou molle).[/dcs_p] [dcs_p]A l’avant c’est encore une autre histoire. Le 2.10 reste instable sur la roche et les racines humides. Il offre cependant un comportement rassurant dans la boue et les sols meubles.[/dcs_p]Le parcours
[dcs_p]A peine 30 kms… Et quelques soucis techniques au niveau des pédales automatiques Shimano.[/dcs_p] [dcs_p]Bourrages permanents et nombreuses chutes sans gravité ont rendus le parcours difficile.Partager le circuit avec d’un côté les vététistes de l’escapade du Petit Prince mais aussi avec les coureurs d’une importante course d’orientation poussent à l’effort d’un côté mais à la prudence de l’autre.[/dcs_p] [dcs_p]Avec la météo pluvieuse des jours précédents et le passage de nombreux cyclistes, les sentiers sont vite devenus de vastes flaques de boue extrêmement liquide. [/dcs_p]